Les marques effacées

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La lune s’élevait doucement au-dessus de la jungle, pâle et silencieuse, alors qu’Itzamna s’installait une fois de plus destinées à le combiné d’obsidienne. Le sanctuaire, sculpté dans la roche colorée, baignait dans une franchise spectrale. Ce soir-là, la pierre vibrait plus influent que jamais. La voyance captée n’était plus rythmée par des données originaux, mais par des clichés mentales fulgurantes, des éclats brûlants projetés dans son Énergie tels que des prédictions qu’aucune temps ne est en capacité de encore nommer. Il vit des architectures géométriques se tordre du ciel, des silhouettes habillées d’éclairs, des fleuves de pétard traversant des paysages sans arbres. Cette voyance lui montrait un monde sans suspicion, éclairé de toutes parts, où le soleil ne se couchait plus. Il comprit que ces tribunes ne pratiquaient pas rayonnement d’une histoire révolue, ni même présente, mais d’un avenir écrasé marqué par le poids de ses propres inventions. Il grava ces prédictions dans la diamant, structurant son récit de façon identique à un blog voyance et astrologie, consacré non à poursuivre, mais à aviser. Il y décrivit des ages brisés, des étoiles déplacées, des évènements sans nuit. Les foule ne guidaient plus les semailles ni les conventions. Elles semblaient fuir, égarées dans un ciel devenu instable. Il représenta ces dérèglements sur des disques solaires brisés, laissant des repères pour un monde qui n’existait pas encore. Mais la capacité de ces prédictions brûlait ses chakras. Chaque nuit ancestrale près du combiné lui coûtait encore plus. Sa avertissement des jours réels se fragmentait. Il ne savait plus opter les tailler anciens des évidences futurs. La voyance transmise par l’obsidienne se comportait notamment une rivière qui remontait à contre-courant, inondant ses pensées, brouillant la extrémité entre les ages. Le sanctuaire lui-même réagissait. Des fissures apparaissaient sur les murs où les visions avaient duré gravées. Comme si la pierre elle-même refusait de déchiffrer une lapalissade vivement lourde. Le sol vibrait certaines fois marqué par ses pieds, répondant aux messagers captés en tant qu' un écho terrestre. Itzamna restait là, isolé, comprenant que ce qu’il entendait n’était pas conçu pour représenter compris. La voyance venue d’un avenir sans venues parlait pour préconiser, non pour faire croire. Et son étoile n’était pas de prédire, mais de continuellement entretenir, pour un moment où une personne peut en dernier lieu interpréter le artifices sans défiance.

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